SEM, Search Engine Marketing
Le SEM pour Search Engine Marketing, parfois contracté en Search, désigne la combinaison des deux activités majeures du référencement sur Internet, le SEO et le SEA. Le SEM peut aussi correspondre au Search Engine Marketor, la personne chargée de gérer ces deux branches.
Des activités qui vont de pair
Si en agence ces tâches peuvent être confiées à des personnes différentes en fonction des affinités d’une part et, bien souvent, du degré de spécialisation d’autre part, chez l’annonceur elles peuvent et sont d’ailleurs bien souvent dans les PME, confiées à la même personne. S’il s’agit des deux activités majeures, une autre tend à se développer de plus en plus, et se rattache, dans les services marketing des entreprises, à la personne / aux personnes en charge du Search, le SMO.
Les moteurs de recherche dans le webmarketing
Le Search est la branche du webmarketing qui, comme son nom l’indique, s’occupe de la partie moteur de recherche. Ainsi le travail vaut essentiellement pour Google qui concentre à lui seul près de 90% des parts de marché, mais vise aussi les autres moteurs. Si Bing, le moteur de recherche de Microsoft et Yahoo! l’un des moteurs dominants avant l’arrivée du géant de Mountain View complètent le podium des PDM des moteurs, on trouve aussi quelques autres alternatives, méconnues du grand public comme le moteur français Qwant qui vient de sortir et que je vous invite chaudement à découvrir : http://www.qwant.com.
- Lead : dans le domaine du webmarketing, un Lead correspond à un prospect. Le lead peut prendre plusieurs formes, une demande de documentation ou de devis validée, un abonnement à une newsletter, etc.
- CTR : le CTR est l’acronyme de l’expression anglaise Click Through Rate. Il s’agit du taux de clics en fonction de l’affichage. Par exemple, dans le cadre d’une annonce sur Google Adwords, si vous obtenez 5 clics pour une centaine d’affichage, vous avez un CTR de 5%.
- ROI : Encore une fois il s’agit d’un sigle anglais signifiant Return On Investment. Nul besoin de sortir de Harvard pour comprendre que cela désigne ce que l’on appelle en français le retour sur investissement.