Non rien de rien, non, je ne regrette rien

Contrairement à ce que le titre du billet pourrait vaguement laisser penser, je ne vais pas vous parler d’Édith Piaf, bien que j’apprécie beaucoup cette artiste. Non, ici je vous propose un billet, comment pourrait-on dire, presque à la lisière du développement personnel peut-être… qui consiste à ne rien regretter ce qui m’apparaît particulièrement valable en référencement.
Regretter, aucun intérêt
Cela vaut pour énormément de situations je pense, même si c’est quand le degré d’importance est conséquent, bien plus facile à dire qu’à faire. La plupart du temps, regretter occupe l’esprit négativement, en empêchant d’utiliser ce temps de cerveau disponible pour quelque chose de plus productif et / ou intéressant. Qui plus est, regretter ne permet pas davantage d’arranger votre problème… donc ne perdez pas de temps non plus pour ça, ça n’en vaut pas la peine.
Plutôt que de regretter, capitalisez sur vos erreurs
Ne pas regretter en revanche ça peut parfois permettre d’avancer et je trouve cela tout particulièrement vrai pour le référencement. Déjà parce que ça évite de ruminer et ensuite parce que, ça peut faire avancer en cherchant à tirer profit de ce qu’on aurait pu perdre notre temps à regretter et surtout, surtout en réagissant différemment si la situation se représente (sauf à monter des stratégies non pérennes).
Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Souvenez-vous, quand vous étiez un peu plus jeune et que vos parents vous interrogeaient sur ce qui n’avait pas fonctionné après une mauvaise note dans un devoir d’une discipline dans laquelle vous étiez plutôt à l’aise en temps normal ? Et bien là c’est exactement pareil. Et quand je dis que je trouve que cela s’applique encore plus au référencement, c’est parce que nous évoluons dans un métier empirique à souhait. Notre métier est quand même particulièrement évolutif vous le reconnaîtrez. Le SEO n’est pas mort, simplement il se restructure différemment de l’époque où il était trop facile d’abuser des liens aux ancres optimisées, que nous multipliions à l’envi sur les sites de communiqués de presse dont, même sans tous les mettre dans le même panier, une grande majorité ne servait qu’au SEO.
Un peu d’honnêteté
Reconnaissons, comme à cette époque que de nombreux sites tombaient parce que nous avions mis les mains dans le pot de miel trop goulument. Pourquoi regretter ? Parfois et c’est encore vrai dans de nombreuses stratégies, nous savons ce que nous faisons et ce que nous risquons. Il ne faut désormais plus pleurer sur un âge révolu mais capitaliser sur d’autres techniques, chercher d’autres leviers aux effets peut-être moins rapidement visibles dans les SERP de Google, mais qui vont profiter à notre trafic sur la durée, sans mettre en péril notre site et parfois avec lui, notre activité.
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